Mark et Jeroen ont commencé l'agriculture en 2001, lorsqu'ils ont repris l’exploitation de parents et grands-parents. A cette époque, l’exploitation disposait de 22 hectares de culture. Les frères ont rapidement agrandit la surface, de sorte que l'entreprise possède désormais 135 hectares, dont une partie en location. Ils cultivent 35 hectares de céréales, 30 hectares de betteraves sucrières et 70 hectares de pommes de terre.
Mark et Jeroen montrent toujours beaucoup d'intérêts dans les nouvelles techniques et méthodes de culture
Par exemple, leur entreprise dispose d’essais de Giesen Crop Research. Mark a également mis en place des essais personnels avec des activateurs de défense des plantes. « Si vous faites toujours tout de la même manière, vous ne verrez jamais de différence. J’effectue toujours des tests ou essais afin de pouvoir voir plus tard dans la saison quel a été l'effet sur la culture ou le rendement d'un produit ou d’une technique. C’est le cas, par exemple, avec les granulés anti-nématodes. Nous échantillonnons nos parcelles au préalable afin d’y connaitre la situation nématodes. Vous devez toujours connaitre la situation d’une parcelle afin d’y apporter la meilleure solution”.
Faire un essai, comment cela se passe?
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L’essai a été installé dans une parcelle de 15 hectares. Un bloc de 4 hectares a été pulvérisé trois fois suivant le conseil fourni par Syngtenta et le reste n'a pas été traité. Le producteur est satisfait de la conception et de la supervision de l'essai. “Hans Buikema a commencé l‘essai, son successeur Arjan Ottens lui a succédé plus tard. Les deux avaient une expertise et étaient facilement accessibles. L’essai a été réalisé par des étudiants de la HAS de Den Bosch, dont Kelly Slokker. La communicatoin a aussi été excellente” dit Mark.
Effectivement plus de rendement
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Les étudiants ont pris 4 échantillons de 10 mètres de long par traitement. Mark était sceptique au début quant à savoir si ceux-ci étaient suffisamment représentatifs, mais doit conclure par la suite qu'ils le sont. Il a arraché et livré les deux blocs séparément. Les rendements et le contenu des blocs correspondent aux échantillons prélevés par les étudiants.
Le rendement supplémentaire que Quantis a donné aux pommes de terre de Mark était inférieur à la moyenne des essais Syngenta. Quantis a donné un rendement supplémentaire de 4,4 %. Mark pense que c'est parce qu'ils utilisent du polysulfate potassique, tandis que d'autres producteurs utilisent souvent du sulfate de potassium. Contrairement au sulfate de potassium, le polysulfate contient également du calcium et du magnésium. En conséquence, notre parcelle non traitée a subi moins de stress que les parcelles non traitées des autres producteurs. La valeur ajoutée de Quantis est donc moindre pour nous que pour les producteurs qui fertilisent des engrais plus basiques, soupçonne Mark.
Selon le producteur, Quantis comme est un produit très simple d’utilisation. Il est liquide et se mélange bien avec les fongicide, par exemple. “Vous n'avez donc pas besoin de pulvériser spécifiquement. Un autre gros avantage de Quantis est qu'il ne sent pas, comme certains produits. Donc, vous n'avez pas à avoir peur des réactions du voisinage."
Etes-vous aussi enthousiaste?
Jeroen Karstenberg pense que l'agriculture ne serait rien sans la chimie, mais que le secteur peut aller plus loin avec les biostimulants et les activateurs de défensedes plantes pour compenser la perte de chimie. Il faut plus en parler au public, selon lui. Les produits de biocontrôle sont moins puissants, ce qui signifie pulvériser plus souvent. Il sera assez difficile de convaincre les citoyens que, malgré le fait que nous roulerons plus souvent sur la parcelle à l'avenir, nous travaillons toujours de manière plus respectueuse de l'environnement
Jeroen Karstenberg veut participer à nouveau aux essais de Syngenta à l’avenir, car une année n’est pas l’autre. Il appliquera probablement aussi Quantis sur ses parcelles, lorsque le mois de juin sera à nouveau à nos portes.
Il faut aussi regarder les coûts, surtout maintenant. Le produit coûte environ 15 € le litre. 30 € par application est gérable.
L’essai a été installé dans une parcelle de 15 hectares. Un bloc de 4 hectares a été pulvérisé trois fois suivant le conseil fourni par Syngtenta et le reste n'a pas été traité. Le producteur est satisfait de la conception et de la supervision de l'essai. “Hans Buikema a commencé l‘essai, son successeur Arjan Ottens lui a succédé plus tard. Les deux avaient une expertise et étaient facilement accessibles. L’essai a été réalisé par des étudiants de la HAS de Den Bosch, dont Kelly Slokker. La communicatoin a aussi été excellente” dit Mark.